Tous les articles par Sabine Guillemin

Paysages graphiques à l’Abbaye de Baume-les-Dames

Gravures réalisées à partir de l’œuvre d’Hiroko OKAMOTO – Bruissements IV. École maternelle Prairie.

2017 marque la deuxième année d’un partenariat qui s’est développé entre la DSDEN du Doubs/circonscription de Besançon 3, l’ASCAP – Association Sportive et Culturelle des Automobiles Peugeot – et la municipalité de Baume-les-Dames. Ce projet culturel entre dans le cadre du Parcours d’Éducation Artistique et Culturelle de l’élève (PEAC).

Peinture inspirée d’une huile d’André CHARIGNY – Le Lac du petit Maclus. École maternelle du Centre.
Peinture inspirée d’une huile d’André CHARIGNY – Le Lac du petit Maclus. École maternelle du Centre.

Comme l’année dernière, ce projet s’est concrétisé par l’installation de trois œuvres d’art contemporain prêtées par l’Artothèque de l’ASCAP dans chacune des cinq écoles de Baume-les-Dames durant la dernière période de l’année scolaire de fin mars à juin 2017. Les différentes gravures, lithographies, sérigraphies, photographies, eaux-fortes ou gouaches retenues dans le cadre de ce projet ont été choisies autour de la thématique du paysage.

Création inspirée d’une lithographie rehaussée de Pascal Henri POIROT – Babel.

Certaines écoles se sont emparées des œuvres exposées sur chacun des sites pour les décliner en créations artistiques. Les enseignant(e)s ayant bénéficié d’une formation spécifique disposaient également de fiches interprétatives et explicatives pour chacune d’entre elles.  Ainsi, quelques un(e)s ont réinvesti ces propositions avec leurs élèves. D’autres n’ont pas hésité à explorer des techniques artistiques comme celle de la gravure ou de la mise en volume qui offrent de nouveaux champs d’expression pour les élèves. Quelques productions présentées ont été également inspirées par des œuvres contemporaines ayant fait l’objet d’une exposition du FRAC (Fonds Régional d’Art Contemporain) au collège Cassin dans le courant janvier.

Réalisation autour  de l’œuvre de Shöichi HOSEGAWA – Hymne à la lumière. École maternelle du Centre.
Compositions réalisées et librement inspirées de d’un pastel à l’huile de Liliane MARIOTTI, École maternelle du Centre.
Compositions réalisées et librement inspirées de d’un pastel à l’huile de Liliane MARIOTTI. École maternelle du Centre.

Le point d’orgue de ce projet se concrétise par une exposition ouverte au public dans le magnifique site culturel de l’Abbaye de Baume-les-Dames. Celle-ci s’est tenue tous les jours du 26 au 30 juin. Cette manifestation a permis d’exposer simultanément les œuvres des artistes et les créations des élèves. Parents d’élèves, classes, touristes ont été impressionnés par la qualité de l’exposition.

Gravures dans le sable réalisées par les CP-CE1 de l’école élémentaire des Terreaux.
Création de l’école maternelle Prairie, inspirée par une gravure exposée d’Anne WALKER – Sans titre.
Volume librement inspiré de l’aquarelle de Fernand LAMY – Randonnée alpestre. ULIS de l’école élémentaire des Terreaux.

Un tel projet n’aurait pu voir le jour sans les précieuses collaborations des enseignants des écoles de Baume-les-Dames, de Pascale Kieffer de l’ASCAP, de Mme Romanens de la municipalité de Baume-les-Dames, de Jean-Paul Jorrot, conseiller pédagogique départemental Arts Visuels et de Jean-Luc Poulain, conseiller pédagogique de Besançon 3. Nous remercions vivement la municipalité de Baume-les-Dames pour son investissement dans ce projet tant au niveau du financement que pour le déploiement des moyens logistiques de transport, d’installation des œuvres et de la mise à disposition du cadre de l’Abbaye pour l’exposition finale.

Ce projet a atteint ses objectifs initiaux : quelques 600 élèves ont rencontré des œuvres originales et de qualité et bon nombre d’entre eux ont développé une réelle pratique artistique autour de celles-ci comme le montrent bien les créations enfantines que nous vous faisons partager dans cet article.

Création inspirée de l’œuvre de Javier ROZ, – Box IV. Composition avec photo couleur, pointe sèche et crayon. École primaire de Cour.
L’Arbre des rêves. GS de l’école maternelle Prairie.

Paysages graphiques à l’Abbaye de Baume-les-Dames

Gravures réalisées à partir de l’œuvre d’Hiroko OKAMOTO – Bruissements IV. École maternelle Prairie.

2017 marque la deuxième année d’un partenariat qui s’est développé entre la DSDEN du Doubs/circonscription de Besançon 3, l’ASCAP – Association Sportive et Culturelle des Automobiles Peugeot – et la municipalité de Baume-les-Dames. Ce projet culturel entre dans le cadre du Parcours d’Éducation Artistique et Culturelle de l’élève (PEAC).

Peinture inspirée d’une huile d’André CHARIGNY – Le Lac du petit Maclus. École maternelle du Centre.
Peinture inspirée d’une huile d’André CHARIGNY – Le Lac du petit Maclus. École maternelle du Centre.

Comme l’année dernière, ce projet s’est concrétisé par l’installation de trois œuvres d’art contemporain prêtées par l’Artothèque de l’ASCAP dans chacune des cinq écoles de Baume-les-Dames durant la dernière période de l’année scolaire de fin mars à juin 2017. Les différentes gravures, lithographies, sérigraphies, photographies, eaux-fortes ou gouaches retenues dans le cadre de ce projet ont été choisies autour de la thématique du paysage.

Création inspirée d’une lithographie rehaussée de Pascal Henri POIROT – Babel.

Certaines écoles se sont emparées des œuvres exposées sur chacun des sites pour les décliner en créations artistiques. Les enseignant(e)s ayant bénéficié d’une formation spécifique disposaient également de fiches interprétatives et explicatives pour chacune d’entre elles.  Ainsi, quelques un(e)s ont réinvesti ces propositions avec leurs élèves. D’autres n’ont pas hésité à explorer des techniques artistiques comme celle de la gravure ou de la mise en volume qui offrent de nouveaux champs d’expression pour les élèves. Quelques productions présentées ont été également inspirées par des œuvres contemporaines ayant fait l’objet d’une exposition du FRAC (Fonds Régional d’Art Contemporain) au collège Cassin dans le courant janvier.

Réalisation autour  de l’œuvre de Shöichi HOSEGAWA – Hymne à la lumière. École maternelle du Centre.
Compositions réalisées et librement inspirées de d’un pastel à l’huile de Liliane MARIOTTI, École maternelle du Centre.
Compositions réalisées et librement inspirées de d’un pastel à l’huile de Liliane MARIOTTI. École maternelle du Centre.

Le point d’orgue de ce projet se concrétise par une exposition ouverte au public dans le magnifique site culturel de l’Abbaye de Baume-les-Dames. Celle-ci s’est tenue tous les jours du 26 au 30 juin. Cette manifestation a permis d’exposer simultanément les œuvres des artistes et les créations des élèves. Parents d’élèves, classes, touristes ont été impressionnés par la qualité de l’exposition.

Gravures dans le sable réalisées par les CP-CE1 de l’école élémentaire des Terreaux.
Création de l’école maternelle Prairie, inspirée par une gravure exposée d’Anne WALKER – Sans titre.
Volume librement inspiré de l’aquarelle de Fernand LAMY – Randonnée alpestre. ULIS de l’école élémentaire des Terreaux.

Un tel projet n’aurait pu voir le jour sans les précieuses collaborations des enseignants des écoles de Baume-les-Dames, de Pascale Kieffer de l’ASCAP, de Mme Romanens de la municipalité de Baume-les-Dames, de Jean-Paul Jorrot, conseiller pédagogique départemental Arts Visuels et de Jean-Luc Poulain, conseiller pédagogique de Besançon 3. Nous remercions vivement la municipalité de Baume-les-Dames pour son investissement dans ce projet tant au niveau du financement que pour le déploiement des moyens logistiques de transport, d’installation des œuvres et de la mise à disposition du cadre de l’Abbaye pour l’exposition finale.

Ce projet a atteint ses objectifs initiaux : quelques 600 élèves ont rencontré des œuvres originales et de qualité et bon nombre d’entre eux ont développé une réelle pratique artistique autour de celles-ci comme le montrent bien les créations enfantines que nous vous faisons partager dans cet article.

Création inspirée de l’œuvre de Javier ROZ, – Box IV. Composition avec photo couleur, pointe sèche et crayon. École primaire de Cour.
L’Arbre des rêves. GS de l’école maternelle Prairie.

Le Satellite du FRAC en résidence à Autechaux

Dans le cadre de sa mission culturelle, le FRAC Franche-Comté – Fonds Régional d’Art Contemporain – dispose d’un véhicule d’exposition, le Satellite, qui lui permet de faire rayonner sa collection d’œuvres vers les territoires culturellement démunis. Ce camion d’exposition parcourt les routes de Franche-Comté pour présenter quelques œuvres d’art contemporain autour d’une thématique. L’exposition s’adresse généralement au public scolaire d’une part, et aux personnes résidant aux alentours de l’exposition nomade d’autre part.

Crédit photo : Nicolas Waltefaugle – Frac de Franche-Comté
Crédit photo : Nicolas Waltefaugle – Frac de Franche-Comté

Ainsi, le Satellite a fait escale pour quelques jours, du 11 au 18 mai 2017, dans la commune d’Autechaux située dans la circonscription de Besançon 3. L’exposition intitulée « Balades, errances et autres pérégrinations » aborde le thème du voyage, des explorations que les différents artistes peuvent faire du monde et leur narration au public. Les supports étaient variés :

44, un montage vidéo de 44 minutes racontant un périple de 44 jours en bateau en mer de Weddell dans l’Antarctique sur les traces de l’explorateur anglo-irlandais Ernest Shackleton. Cette œuvre de Simon Faithfull est filmée depuis le hublot de son bateau. Il a conservé une minute de film par jour de son voyage.

En Micronésie, une bande son d’un artiste français, Pierre Alféri, méli-mélo d’extraits des œuvres de Jules Verne centrés sur des lieux communs et des personnages récurrents de l’écrivain, narrés par l’artiste et accompagnés de bruitages et d’autres voix d’acteurs créant une atmosphère de voyage, un rappel d’archipels d’îles.

Stanbild Western de Hans Schabus, une série d’une dizaine de photographies formant des images fixes qui racontent l’histoire en mouvement d’un voyage en bateau – spécialement conçu par l’artiste – dans les égouts de Vienne à la recherche d’une voie jusqu’à l‘océan pour gagner New-York.

The deck of Tara, un jeu de cartes imitant le jeu de tarot de Ellie Ga, illustrées de photographies d’un voyage d’exploration avec des scientifiques à bord du navire Tara dans l’océan Arctique. Lors de performances face à un public, l’artiste raconte un nouveau récit de son périple par le tirage aléatoire de certaines cartes.

En amont de la présentation de l’exposition aux élèves, l’ensemble des enseignants de maternelle et d’élémentaire a pu bénéficier d’un temps de formation coordonné par Maude Marchal, médiatrice du FRAC, qui les a guidés dans l’interprétation des œuvres exposées et la mise en place des ateliers dédiés.

En effet, le Satellite ayant une jauge très modeste, une classe complète ne pouvait y accéder en même temps. Aussi, chaque classe était divisée en trois groupes d’environ huit élèves. Chacun d’entre eux participait à des ateliers tournants animés soit par les animatrices du FRAC, soit par les enseignants. Ces ateliers adaptés à chacun des niveaux, maternelle comme élémentaire, étaient complémentaires à la visite de l’exposition du Satellite.

Découverte de l’œuvre de H. Schabus

– Le premier atelier tournait autour de la création plastique : à partir de l’œuvre de Simon Faithfull, les élèves devaient constituer, avec des bandes de papier coloré découpées ou déchirées, un paysage marin visible à travers un hublot.

– L’autre atelier faisait appel à l’imaginaire : à partir de quelques objets tirés d’une valise, les élèves devaient imaginer un récit de voyage. Ils avaient alors à créer un personnage, une expédition, un voyage où les objets proposés donnaient du sens à leur histoire. Les élèves ont donc construit à l’oral une ou plusieurs histoires pour ensuite la rédiger à l’écrit et la proposer, dans un dernier temps, par la lecture à leurs camarades.

L’ensemble des élèves a apprécié ce temps fort. Il leur a permis d’alimenter leur Parcours d’Éducation Artistique et Culturelle (PEAC). Cette initiative n’aurait pu avoir lieu sans l’implication de l’ensemble de l’équipe enseignante de l’école d’Autechaux que nous remercions vivement, ainsi que les personnes qui se sont engagées dans un partenariat tripartite entre :

– le FRAC de Franche-Comté représenté par Maude Marchal, chargée de la diffusion et médiatrice dédiée au Satellite et par Louise Gaulme, stagiaire.

– la Présidente du Syndicat Intercommunal Scolaire Périscolaire Petite Enfance d’Autechaux, Mme Sophie Philippot-Leparlier, qui a permis d’établir la convention et de faciliter l’installation matérielle du Satellite.

– l’éducation nationale par l’intermédiaire de Jean-Paul Jorrot, conseiller pédagogique départemental en Arts Visuels et de Jean-Luc Poulain, conseiller pédagogique de la circonscription de Besançon 3 dont dépend l’école d’Autechaux.

Le Satellite du FRAC en résidence à Autechaux

Dans le cadre de sa mission culturelle, le FRAC Franche-Comté – Fonds Régional d’Art Contemporain – dispose d’un véhicule d’exposition, le Satellite, qui lui permet de faire rayonner sa collection d’œuvres vers les territoires culturellement démunis. Ce camion d’exposition parcourt les routes de Franche-Comté pour présenter quelques œuvres d’art contemporain autour d’une thématique. L’exposition s’adresse généralement au public scolaire d’une part, et aux personnes résidant aux alentours de l’exposition nomade d’autre part.

Crédit photo : Nicolas Waltefaugle – Frac de Franche-Comté
Crédit photo : Nicolas Waltefaugle – Frac de Franche-Comté

Ainsi, le Satellite a fait escale pour quelques jours, du 11 au 18 mai 2017, dans la commune d’Autechaux située dans la circonscription de Besançon 3. L’exposition intitulée « Balades, errances et autres pérégrinations » aborde le thème du voyage, des explorations que les différents artistes peuvent faire du monde et leur narration au public. Les supports étaient variés :

44, un montage vidéo de 44 minutes racontant un périple de 44 jours en bateau en mer de Weddell dans l’Antarctique sur les traces de l’explorateur anglo-irlandais Ernest Shackleton. Cette œuvre de Simon Faithfull est filmée depuis le hublot de son bateau. Il a conservé une minute de film par jour de son voyage.

En Micronésie, une bande son d’un artiste français, Pierre Alféri, méli-mélo d’extraits des œuvres de Jules Verne centrés sur des lieux communs et des personnages récurrents de l’écrivain, narrés par l’artiste et accompagnés de bruitages et d’autres voix d’acteurs créant une atmosphère de voyage, un rappel d’archipels d’îles.

Stanbild Western de Hans Schabus, une série d’une dizaine de photographies formant des images fixes qui racontent l’histoire en mouvement d’un voyage en bateau – spécialement conçu par l’artiste – dans les égouts de Vienne à la recherche d’une voie jusqu’à l‘océan pour gagner New-York.

The deck of Tara, un jeu de cartes imitant le jeu de tarot de Ellie Ga, illustrées de photographies d’un voyage d’exploration avec des scientifiques à bord du navire Tara dans l’océan Arctique. Lors de performances face à un public, l’artiste raconte un nouveau récit de son périple par le tirage aléatoire de certaines cartes.

En amont de la présentation de l’exposition aux élèves, l’ensemble des enseignants de maternelle et d’élémentaire a pu bénéficier d’un temps de formation coordonné par Maude Marchal, médiatrice du FRAC, qui les a guidés dans l’interprétation des œuvres exposées et la mise en place des ateliers dédiés.

En effet, le Satellite ayant une jauge très modeste, une classe complète ne pouvait y accéder en même temps. Aussi, chaque classe était divisée en trois groupes d’environ huit élèves. Chacun d’entre eux participait à des ateliers tournants animés soit par les animatrices du FRAC, soit par les enseignants. Ces ateliers adaptés à chacun des niveaux, maternelle comme élémentaire, étaient complémentaires à la visite de l’exposition du Satellite.

Découverte de l’œuvre de H. Schabus

– Le premier atelier tournait autour de la création plastique : à partir de l’œuvre de Simon Faithfull, les élèves devaient constituer, avec des bandes de papier coloré découpées ou déchirées, un paysage marin visible à travers un hublot.

– L’autre atelier faisait appel à l’imaginaire : à partir de quelques objets tirés d’une valise, les élèves devaient imaginer un récit de voyage. Ils avaient alors à créer un personnage, une expédition, un voyage où les objets proposés donnaient du sens à leur histoire. Les élèves ont donc construit à l’oral une ou plusieurs histoires pour ensuite la rédiger à l’écrit et la proposer, dans un dernier temps, par la lecture à leurs camarades.

L’ensemble des élèves a apprécié ce temps fort. Il leur a permis d’alimenter leur Parcours d’Éducation Artistique et Culturelle (PEAC). Cette initiative n’aurait pu avoir lieu sans l’implication de l’ensemble de l’équipe enseignante de l’école d’Autechaux que nous remercions vivement, ainsi que les personnes qui se sont engagées dans un partenariat tripartite entre :

– le FRAC de Franche-Comté représenté par Maude Marchal, chargée de la diffusion et médiatrice dédiée au Satellite et par Louise Gaulme, stagiaire.

– la Présidente du Syndicat Intercommunal Scolaire Périscolaire Petite Enfance d’Autechaux, Mme Sophie Philippot-Leparlier, qui a permis d’établir la convention et de faciliter l’installation matérielle du Satellite.

– l’éducation nationale par l’intermédiaire de Jean-Paul Jorrot, conseiller pédagogique départemental en Arts Visuels et de Jean-Luc Poulain, conseiller pédagogique de la circonscription de Besançon 3 dont dépend l’école d’Autechaux.

Anamorphose – formation à l’Atelier CANOPÉ de Besançon (2/2)

Cet article fait suite à un premier rédigé fin mars 2017, et que vous pouvez retrouver à cette adresse, sur ce même site.

Une seconde journée de formation a eu lieu à l’Atelier CANOPÉ de Besançon autour de l’anamorphose, et en compagnie de l’artiste Vincent Jacquin.

Ci-dessous : (clic possible sur les pictogrammes pour accéder à la partie qui vous intéresse)

D’où part-on ? (Lien vers le premier article)
Projet de la journée.
Quelques vidéos.


Les productions des participants se sont orientées autour de la projection d’une image sur différents objets placés au milieu de la pièce. Comme pour la précédente formation, un point de vue particulier permettait d’observer l’image.

Concrètement, des cartons ont été déposés et « fixés » (avec quelques bouts de scotchs). Puis une image choisie a été projetée au vidéo-projecteur sur cet assemblage.

#Anamorphose2_preparation1

L’image est peinte sur l’assemblage pendant que le vidéoprojecteur fonctionne.

#Anamorphose2_preparation2


En « Time Lapse » (en « accéléré »), la préparation de l’assemblage et la projection de l’image choisie :

#Anamorphose2_timelapse1

Et l’atelier peinture de l’image sur l’assemblage :

#Anamorphose2_timelapse2

Le résultat final photographié de différents points de vue, pour la première image choisie :

Pour la seconde :

Et en vidéo :

#Anamorphose2


Un troisième article sur le même thème complétera bientôt cette « trilogie » avec des propositions de mise en œuvre pour l’école.

Anamorphose – formation à l’Atelier CANOPÉ de Besançon (2/2)

Cet article fait suite à un premier rédigé fin mars 2017, et que vous pouvez retrouver à cette adresse, sur ce même site.

Une seconde journée de formation a eu lieu à l’Atelier CANOPÉ de Besançon autour de l’anamorphose, et en compagnie de l’artiste Vincent Jacquin.

Ci-dessous : (clic possible sur les pictogrammes pour accéder à la partie qui vous intéresse)

D’où part-on ? (Lien vers le premier article)
Projet de la journée.
Quelques vidéos.


Les productions des participants se sont orientées autour de la projection d’une image sur différents objets placés au milieu de la pièce. Comme pour la précédente formation, un point de vue particulier permettait d’observer l’image.

Concrètement, des cartons ont été déposés et « fixés » (avec quelques bouts de scotchs). Puis une image choisie a été projetée au vidéo-projecteur sur cet assemblage.

#Anamorphose2_preparation1

L’image est peinte sur l’assemblage pendant que le vidéoprojecteur fonctionne.

#Anamorphose2_preparation2


En « Time Lapse » (en « accéléré »), la préparation de l’assemblage et la projection de l’image choisie :

#Anamorphose2_timelapse1

Et l’atelier peinture de l’image sur l’assemblage :

#Anamorphose2_timelapse2

Le résultat final photographié de différents points de vue, pour la première image choisie :

Pour la seconde :

Et en vidéo :

#Anamorphose2


Un troisième article sur le même thème complétera bientôt cette « trilogie » avec des propositions de mise en œuvre pour l’école.

Bas-relief céramique

L’école de Cuse-et-Adrisans choisit chaque année un thème général afin d’établir une cohésion au sein de l’établissement.
Le thème retenu pour 2016-2017 est celui des animaux. Différentes activés sont proposées : rallye lecture avec une sélection d’ouvrages, recherche documentaire et réalisation de fiches sur les différents animaux, réalisation d’un bestiaire, départ en classe découverte. En amont, chaque classe travaille sur l’un des peintres suivants : Picasso, Matisse, et Klimt. Dans le style de l’artiste choisi, chaque classe réalise un tableau sur un thème animal donné. Lors d’un temps de décloisonnement, chaque classe présente aux autres classes l’artiste et les œuvres qu’elle a réalisées. Le patrimoine local est aussi étudié à travers l’artiste René Perrot qui a donné son nom à l’école.arts-pla-bas-relief-cuse

Additionnés, ces tableaux constituent une grande composition matérialisée avec de multiples pièces céramiques appelées « tommettes », modelées et décorées par chacun des élèves. L’ensemble donne un très beau bas-relief collé au mur de l’une des façades de l’école.

Bas-relief céramique

L’école de Cuse-et-Adrisans choisit chaque année un thème général afin d’établir une cohésion au sein de l’établissement.
Le thème retenu pour 2016-2017 est celui des animaux. Différentes activés sont proposées : rallye lecture avec une sélection d’ouvrages, recherche documentaire et réalisation de fiches sur les différents animaux, réalisation d’un bestiaire, départ en classe découverte. En amont, chaque classe travaille sur l’un des peintres suivants : Picasso, Matisse, et Klimt. Dans le style de l’artiste choisi, chaque classe réalise un tableau sur un thème animal donné. Lors d’un temps de décloisonnement, chaque classe présente aux autres classes l’artiste et les œuvres qu’elle a réalisées. Le patrimoine local est aussi étudié à travers l’artiste René Perrot qui a donné son nom à l’école.arts-pla-bas-relief-cuse

Additionnés, ces tableaux constituent une grande composition matérialisée avec de multiples pièces céramiques appelées « tommettes », modelées et décorées par chacun des élèves. L’ensemble donne un très beau bas-relief collé au mur de l’une des façades de l’école.

Frise pacifique à Trévillers

Le lendemain des attentats du 13 novembre, les élèves, soutenus et guidés par leurs enseignants, ont choisi les arts plastiques pour s’exprimer et se délester de leurs angoisses. Ils ont réalisé une frise géante, haute en couleurs et chargée de messages de paix, de liberté, d’égalité, d’amour, etc.

arts-pla-frise-revillers

Ces valeurs sont une juste expression de l’innocence des enfants. Mais ce sont aussi des valeurs communes transmises, à l’école, par l’enseignement moral et civique (EMC) : la dignité, la liberté, l’égalité, la solidarité, la laïcité, l’esprit de justice, le respect de la personne, l’égalité entre les femmes et les hommes, la tolérance et l’absence de toute forme de discrimination.

Frise pacifique à Trévillers

Le lendemain des attentats du 13 novembre, les élèves, soutenus et guidés par leurs enseignants, ont choisi les arts plastiques pour s’exprimer et se délester de leurs angoisses. Ils ont réalisé une frise géante, haute en couleurs et chargée de messages de paix, de liberté, d’égalité, d’amour, etc.

arts-pla-frise-revillers

Ces valeurs sont une juste expression de l’innocence des enfants. Mais ce sont aussi des valeurs communes transmises, à l’école, par l’enseignement moral et civique (EMC) : la dignité, la liberté, l’égalité, la solidarité, la laïcité, l’esprit de justice, le respect de la personne, l’égalité entre les femmes et les hommes, la tolérance et l’absence de toute forme de discrimination.